C’est cette douceur de vivre qui nous a fait tant aimer le Laos. Ce pays d’Asie est bien différent de ceux que nous connaissions jusqu’ici. Le marchandage, la circulation chaotique et la frénésie grouillante des tuk-tuk ne sont pas de rigueur ici. En fait, il y règne un calme rassurant.
Nous avons vite su adopter le rythme nonchalant de ses habitants. Ainsi, lorsque nous nous installions dans les hamacs de notre bungalow, nous prenions le temps de vivre et d’admirer cette vue imprenable sur la montagne et la rivière Nam Ou.
Nos journées se déroulèrent dans une certaine quiétude et nous entrecoupions ces doux instants par de belles balades en canoë, des boucles en moto (dont celle de Thakhek parcourue avec nos amis Christilla et Albéric), un trek au coeur de la jungle où nous dormions à la belle étoile sur un lit improvisé de feuilles de bananier.
Nous avons été marqués par cette atmosphère si particulière et si différente de ce que nous vivions il y a à peine quelques mois dans la frénésie parisienne. Ici, nous expérimentons chaque jour l’indolence et la lenteur des Laotiens qui repousse les limites de notre patience. Cette lenteur a la vertu de nous laisser le temps de faire de belles rencontres. L’initiative du premier contact avec les autres voyageurs ou les indigènes se fait maintenant naturellement, là ou dans les premières semaines cela nous demandait plus d’effort.
Le voyage est certes l’occasion d’explorer la splendeur du monde, mais il a bien plus à nous offrir. Nous essayons d’en saisir toute la richesse. Cela prend du temps, mais du temps nous en avons justement.
Super les copains c est top de pouvoir vous suivre! Gros bisous de Bretagne!
Ca fait plaisir de voir que tout va bien pour vous.
Vous nous donnez drôlement envie avec toutes vos magnifiques photos.
Gros bisous les cocos
Comme c’est beau!
Doudou, la barbe te va vraiment bien!
On vous embrasse !
Victor et Marina